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RDC-SNEL : Il avait fait le bilan électricité de Fatshi, innocent, JBK acquitté

Choix de la rédaction

Jean Bosco Kayombo, DG sorti de la SNEL comme jamais avant lui, sous les applaudissements et la reconnaissance des milliers des cadres et agents SNEL, pour le travail et l’exécution parfaite de la vision électricité du Président Félix Tshisekedi, passé par la prison, est acquitté.

« Electricité », certainement sous un autre ciel elle porterait le nom du « Social », parce que sans elle, pas d’investissement, pas d’emplois, pas d’éducation. Félix Tshisekedi avait compris cela en mettant les bouchées double dans ce secteur. Ça revient comme lors de l’avènement du successeur de Joseph Kabila au pouvoir, « Le profil Kayombo est le meilleur pour matérialiser la vision électricité de celui qui a promis de faire du Congo un pays fort et prospère », Jean Bosco Kayombo n’a pas déçu, il avait fait le job.

« Le dossier d’accusation de Kayombo était l’arbre qui avait caché la forêt du complot de son départ. Aujourd’hui qu’il est reconnu innocent et face au chaos que vit la société nationale d’électricité, qui a conduit les députés à demander la révocation de son successeur par le gouvernement, sous 48h, tout le monde peut comprendre que la vraie victime de la machination contre Kayombo, était le Président Tshisekedi », affirme à notre rédaction un spécialiste des questions énergétique.

Le disfonctionnement de la SNEL a paralysé les activités des minnings, premiers contributeurs dans l’assiette fiscale de la RDC dont les conséquences se font ressentir dans les caisses publiques. La situation que traverse le pays depuis l’arrêt de la dynamique Fatshi-Kayombo à la SNEL, n’a pas laissé indifférents les députés qui vont remettre dans quelques mois seulement en compétition leurs sièges.

Déchéance Lusinde par la majorité, Fatshi veut corriger le casting SNEL ?

Fabrice Lusinde, Directeur Général déchu de la SNEL, n’avait pas cessé de clamer son appartenance à l’UDPS, parti présidentiel. L’opinion a découvert son appartenance à l’Udps, lors de son invitation à témoigner dans le procès de son prédécesseur, où calicots et autres affiches ont été brandis par les militants du « parti présidentiel » pour le soutenir. Au palais du peuple alors qu’il avait le soutien des calicots au nom de l’Udps dans la clôture, les députés Udps et le reste de la majorité dans l’hémicycle n’avait que le mot « révocation de Lusinde »dans la bouche.

Connaissant le caractère godillot de nos élus et la logique de mot d’ordre, certains observateurs n’hésitent pas à confirmer la présence de l’ombre du Patron, le Chef de l’Etat lui-même dans ce dossier refusant de laisser mourir, à quelques mois des élections, son bilan électricité, moteur du développement alors que mis correctement en musique par le prédécesseur de Fabrice Lusinde.

Les rôles des services dans le casting

Le chaos installé depuis la dernière mise en place à la SNEL, qui a stoppé net les avancées énergétiques que le Chef de l’Etat avait présenté dans son dernier discours sur l’état de la Nation, soulève des interrogations sur les rôles des services d’intelligences dans la désignation des mandataires de l’Etat. Voulant se rassurer d’avoir la meilleure équipe pour vaincre définitivement l’obscurité, le Président avait appelé à un concours par la Banque mondiale, via le comité de pilotage des reformes des entreprises publiques « COPIREP » pour désigner les prochains animateurs SNEL et régideso.

Plusieurs voix se sont levées à la SNEL, pour dénoncer le non-respect des conclusions de ces concours qui avaient en réalité confirmés, selon des sources dignes de foi, le profil Kayombo comme le meilleur, pour continuer le redressement de cette société.
On comprend dès lors, les inquiétudes de cette opinion qui pense que l’arbre qui cachait la forêt du complot contre Kayombo, était les dossiers d’accusations du parquet qui a certainement conduit à la base de son limogeage par le Chef de l’Etat.

Des indices qui montrent que Kayombo était sur la vision Fatshi
Il était peu bavard, mais des chiffres, des constructions et réhabilitations, des performances confirment que le prédécesseur de Fabrice Lusinde était concentré à construire un bilan énergétique à Félix Tshisekedi, dans sa vision du peuple d’abord.

Nous pouvons l’aimer ou pas, Jean Bosco Kayombo a joué sa partition pour le peuple d’abord, une partition qui remet toujours en cause les accusations que certains pécheurs en eau trouble distillaient dans les réseaux sociaux, à longueur des journées, pour bloquer la vision du Chef de l’Etat, mis à nu aujourd’hui.

La partition Kayombo que notre rédaction offre à ses lecteurs dans ses lignes est le résultat de plusieurs semaines d’enquêtes, des fouilles et des lectures de plusieurs rapports de la Société Nationale d’Electricité. À la lecture de cet article, il sera facile de comprendre pourquoi le patron de l’IGF, Jules Alingete, malgré les différentes missions dépêchées à la SNEL et les années passées à scruter les actes Kayombo à la tête de cette société, n’avait jamais publié un seul rapport dénonçant la megestion, il n’y en avait pas.

« La concentration est la faculté qui crée les As, les surhommes », disait victor Pauchet.

Remettre en conformité les réseaux de distribution, éliminer les poches noires, placer des compteurs à prépaiement, gérer les ressources humaines avec l’intégration des milliers des journaliers, développer et construire les infrastructures électriques pour une SNEL qu’il avait récupéré à l’agonie, il y a 5 ans, Jean Bosco Kayombo avait besoin de concentration pour laisser aujourd’hui la SNEL en mode de capacité de pilotage automatique comme c’est le cas. Le défi que constitue la production d’énergie est significatif.

Plus d’un milliard de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’électricité et la majorité d’entre elles se trouvent en Afrique. Les personnes connectées au réseau sont régulièrement affectées par des coupures de courant. Et alors que le boom démographique du continent se poursuit, plus d’un quart de la population mondiale résidera en Afrique d’ici 2050. On s’attend donc à ce que la demande en une production d’électricité adéquate, pour soutenir la création d’emplois, augmente rapidement.

Ingénieur de son état, plus de trente ans à la Société Nationale d’Electricité, dirigeant les grandes directions de la société, Jean Bosco Kayombo avait compris cela en mettant les bouchées doubles pour le retour de la géante dans sa vocation initiale. Sous le leadership Tshisekedi, Jean bosco Kayombo a fait le Job.

Production de l’énergie électrique

Sur les travaux réalisés

Le Management Koyombo a construit et mis en service de nouvelles infrastructures comme la centrale de Zongo 2 inaugurée en 2018 et produisant à ce jour 150 MW, la centrale photovoltaïque de Manono (1 MWc), en exploitation, une deuxième Prise d’eau et un canal d’amenée additionnel. Jean Bosco Kayombo a réhabilité des centrales et des groupes comme la centrale de Mwadingusha, réhabilitée et modernisée en partenariat avec Ia société IVANHOE MINES ENERGY DRC et tous les six groupes sont en service à ce jour avec une puissance additionnelle de 9 MW. A la centrale d’Inga 1 alors qu’il n’avait trouvé que deux groupes opérationnels, l’ancien DG de la Snel a réhabilité dans le cadre du projet PMDE. Il a également réhabilité les groupes G21, G22, G27 et G28 de la centrale d’Inga 2. A Sanga, le management Kayombo a mis en service des groupes GS1, GS2, GS3, GS4 et GS61 et à Nseke, groupes 2, 3 et 4 réhabilités dans le cadre de partenariat SNEL SA-TFM. Après la fiabilisation et la réparation des groupes dans les centrales d’Inga 1, Zongo 1, Koni, Nzilo, Kilubi, MobayiMbongo, Tshopo et Ruzizi 1 a fait l’acquisition et la maintenance de deux dragues (Italgrague et Idreco)

En Thermique et autres

Trois groupes thermiques PERKINS de secours ont été installés et mis à Gbadolite dont : (1) 1 groupe au poste de Bambu : 500 kVA, (2) 1 groupe à l’ex-centrale thermique : 400 kVA,
(3) 1 groupe à la sous-station ville. 400 Kva, groupes PERKINS de 500 kVA à la centrale thermique d’Isiro,3 groupes électrogènes de marque PERKINS de 800 kVA à KANANGA et deux groupes électrogènes de 670 et 500 kVA à KISANGANI. Il a mise en service le groupe à gaz GET23 2000 kVA à la centrale de Moanda puis révisé les groupes ABC 3DXS de Basankusu et de Boende,ABC 6DXC 500 kVA de Gemena (2 groupes).

Transport de l’énergie

Dans le transport de l’électricité, la gestion Kayombo a permis la construction et la mise en service de nouvelles infrastructures comme la deuxième ligne 400 kV Inga – Kinshasa, longue de 277,383 km dans le cadre du projet PMEDE, la construction de la nouvelle ligne 70 kV Sanga – Ngombe Matadi, la construction de deux nouvelles travées 220 kV pour les arrivées Kwilu 1 & 2, et l’ extension du jeu des barres 220 kV au poste de Kimwenza, mise en service du poste de sectionnement de TOBAKITA de la ligne 220 kV Maluku –Bandundu en vue de la construction du poste HT de Bukanga-lonzo.

Il aconstruction et mis en service le nouveau poste HT 220/20kV – 100MVA de Kimbanseke, le poste HT de Mitendi 132/20 kV-25/30 MVA en dérivation sur la ligne 132 kV Zongo-Badiadingi, le nouveau poste Mission Catholique de Moenge et magnétisation du transformateur 132/30kV – 15 MVA. Il a également mis en service un nouveau poste HT 220/20 kV -100 MVA de Makala du poste de NGombe Matadi (70/15kV-10 MVA) . Plusieurs nouveaux transformateurs ont été installés au Kwilu, à Maluku à Liminga, Inkisi, Badiadingi et un compensateur réactive au poste de Kimwenza.

On peut l’aimer ou pas, mais les chiffres et les tableaux d’actions posées par Jean bosco Kayombo à la tête de SNEL démontrent que ce dernier était pleinement immergé dans l’action Tshisekedi. Sous sa direction, la SNEL est intervenu dans plusieurs travaux de lutte anti érosive notamment entre les portées 158 et 159 de la ligne 70 kV liaison Zongo-Gombe, au pylône 100 –D1 de la ligne THTCC sur le tronçon Inga-Selo, des pylônes 171, 244 et 254 de la ligne 132 kV Kintata-Boma.

Relance du Réseau Sud

Pour relancer le réseau Sud, la SNEL sous la direction de Jean Bosco Kayombo a construit et mis en service de nouvelles infrastructures, notamment les nouvelles lignes HT des systèmes HTCA du KATANGA jusqu’à la frontière avec la Zambie (dans le cadre du projet SAPMP, Electrification de l’Afrique australe). La SNEL a construit une nouvelle ligne 220 kV simple terne sur l’axe FUNGURUME – PANDA et sur l’axe PANDA KARAVIA, et une ligne 220 kV à double terne sur l’axe KARAVIA-KASUMBALESA pour renforcer le couloir d’exportation entre KOLWEZI et KASUMBALESA à la frontière ZAMBIENNE et garantir ainsi la puissance de 500 MW avec une sécurité M-1. La ligne 220 kV simple terne FUNGURUME – PANDA est de 75 Km alors que la 220 KV simple terne Panda-Karavia est de 110 km. La ligne double terne KARAVIA-Kasumbalesa est de 95 km en plus d’une ligne 6,6 KV Shituru-Dispatching pour alimenter les auxiliaires de Likasi.

Toujours dans la logique de relancer le réseau Sud, sous la direction de son ancien DG, la SNEL a construit de nouveaux postes comme le répartiteur du Lualaba (220/120/33 kV-2×150 MVA), de Samukinda (120/33/11 kV- 2×50 MVA) dont les travaux sont terminés et ils sont mis en service. Le répartiteur centre à Kambove (220/120-2x150MVA) est en service comme le poste blindé « GIS » de Mwadingusha (6,6/120 kV-3×30 MVA).

Les éléments en autre possession, des rapports de remise et reprise entre Jean Bosco Kayombo et son successeur, montre que sous la direction de Jean Bosco Kayombo, la SNEL a procédé à la construction et équipements de 7 postes de soutirage 220 Kv, le long des lignes HT 220 kV pour alimenter les infrastructures communautaires des villages de NSHINGA, TUMBUE, NSATUMBA, BUNGU BUNGU, KAPEMBA, NGUBA et KAYINDI. La SNEL a construit des infrastructures communautaires dans sept villages le long de nouvelles lignes construites sur l’axe FUNGURUME-KASUMBALESA, dans le cadre du projet SAPMP. La SNEL a aussi réhabilité et renforcé l’ensemble du corridor d’exploitation constitué des systèmes THTCC d’INGA-KOLWEZI et des systèmes HTCA du KATANGA jusqu’à la frontière avec la ZAMBIE au niveau de KASUMBALESA.

Au côté du réseau sud, la société nationale d’électricité a stabilisé le réseau Est en remplaçant les isolateurs cassés sur la ligne 70 KV Bukavu – Bujumbura, en réparant le transformateur n°2 70/15kV – 10MVA de Goma ainsi que les pylônes en bois sur la ligne 70 kV Bukavu-Bujumbura.

Sur la liaison stratégique THTCC Inga – Kolwezi

Sur cette ligne également, le management Kayombo laisse des traces palpables avec la modernisation de l’ensemble du système à courant continu INGA-KOLWEZI. L’expert Kayombo a renforcé la puissance des convertisseurs d’INGA de 280 à 560 MW chacun et de KOLWEZI 250 à 500 chacun. Il aremis à neuf l’ensemble du système dans les deux salles de valves d’INGA et de deux de KOLWEZI. Jean Bosco Kayombo a réhabilité le compensateur synchrone 303, des auxiliaires 301, 302 et 303 ; modernisation du contrôle commande avec l’installation d’un convertisseur statique de fréquence. Il a effectué des travaux de déviation du tronçon de la ligne THTCC 500 kV impactée par la construction de la centrale hydroélectrique de Busanga (du P02 au P03 D et G. 72 nouveaux pylônes implantés). Comme une cure de jouvence à cette ligne hautement stratégique pour l’économie de notre pays, l’ancien DG de la SNEL a procédé au remplacement des sectionneurs d’aiguillage et mis à terre des compensateurs synchrones SC 301 et SC 303 au poste HT de SCK , il a installé un nouveau sectionneur 500 kV, DS 807, au poste CC de SCK. Il a également fait activer des protections de défaillance disjoncteurs CA BFP20 et de surtension barres AV P110 des jeux de barres 220 kV de SCK, rétablissant par la même occasion des caméras de surveillance des Shelters de Kananga, de Lusuku et de Kamina, la caméra n°2. Les communications ont été rétablies par fibre optique sur la liaison– Kolwezi.

Distribution de l’énergie

A lire prochainement dans nos lignes, la gestion de Kinshasa et d’autres provinces.

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