SENAT : ATM le sens du devoir

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Sur la qualité de son travail, peu ont été dubitatifs, sur son efficacité à exécuter sa tâche, peu de gens pourront avoir une opinion négative, Alexis THAMBWE MWAMBA « ATM » pour ses proches, Président du Sénat de la République Démocratique du Congo est bien connu pour sa rigueur dans l’exécution des tâches,  ainsi que sur sa capacité à bien faire les choses, sur son sens du devoir. La rigueur, la rationalité, la propreté, l’excellence restent le socle imprenable sur lequel Thambwe Mwamba, depuis ses premiers pas en politique, a construit sa réputation. A 76 ans, cet élève de Léon Kengo wa Dondo, se montre toujours enclin de déployer toute son énergie pour servir fièrement la nation congolaise. 

Ceux qui ont expérimenté le mal-être, l’inefficacité à apporter des résultats à cause d’un cadre de travail inapproprié, pourront mesurer le soulagement qu’éprouve aujourd’hui les sénateurs de la RDC avec la remise en état, en vitesse grand « V », de leur cadre de travail, la chambre haute du parlement congolais. La RDC bouge avec et les institutions congolaises seront souvent butées à des situations exceptionnelles qui nécessiteront des mesures exceptionnelles parfois. Situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle dit-on, et il appartient à chacun d’élaborer sa solution pour un résultat efficace, en faisant usage de la réflexion, de la raison et du sens du devoir. Il y a cependant des règles et des principes auxquels il importe de se référer pour faire ses choix, avec des repères qui existent, qui s’inscrivent dans un système cohérent qui concilie éthique et justice et qui ne heurte pas la loi. Dans sa gestion de la chose publique Alexis Thambwe Mwamba concilie cela avec maestria, sans doute pour certains, grâce à l’âge et à l’expérience, dans un exercice politique où les résultats doivent répondre parfois à plusieurs variables qui vont au-delà des champs des compétences du gestionnaire avec souvent des critères d’évaluation pas fiables.

Le Combat de sa vie se livre au Sénat

Après avoir tout reçu de son pays, l’homme veut tout donner, payer sa dette, c’est son combat, le combat pour l’honneur, le combat de sa vie, sa réponse au droit des congolais, son sens du devoir. En nous fixant sur le monde en termes de droits et devoirs, on se retrouve en permanence en situation d’arbitre entre les droits et les devoirs, ce qui suppose déjà de les connaître, autrement dit, les avoir cherchés, trouvés, appris. Lorsqu’on réalise qu’en plus tous les congolais ont des droits et que ne pas les reconnaître est un manquement à notre devoir ; lorsqu’on apprend qu’empiéter sur les droits d’autrui, c’est contracter une dette dont il faudra s’acquitter tôt ou tard ; lorsqu’on prend conscience du fait que même envers nous-mêmes nous avons différents types de devoirs, établis selon une hiérarchie précise, certains sont pris dans une sorte de tourbillon, d’un vertige devant l’immensité de la tâche à accomplir. Il y a là de quoi décourager la personne la plus motivée et la plus volontaire, qu’à cela ne tienne, Alexis Thambwe Mwamba prend toujours les problèmes à bras le corps lorsque le besoin d’apporter sa touche personnelle s’impose comme cela est le cas pour le Sénat aujourd’hui au risque de renier ses propres convictions, a déclaré un de ses proches.

Face à l’adversité, l’incompréhension existe toujours, tout comme l’impatience, la frustration, la déception, la lassitude, la menace du découragement, etc. Mais dans l’action, Alexis Thambwe Mwamba a souvent fait preuve d’une incroyable détermination sans borne, il se montre plus fort, moins vulnérable et plus lucide comme il a prouvé plusieurs fois entant que  Ministre des affaires étrangères, de la justice ou encore lors des élections à la tête du Sénat où il a battu proprement son challenger, Bahati Lukwebo. Faire mieux que Léon Kengo wa Dondo, son mentor, est un travail immense, un chantier énorme, avec des nombreux enjeux interdépendants entre le cadre de travail, la création des lois et les contrôles de l’exécutif. Il n’est toujours pas simple de savoir par où commencer et où porter ses efforts en priorité tant les attentes sont énorme mais une chose est sûre, on ne peut produire les lois sans un cadre de travail adéquat.  Le Bureau du Sénat s’était lancé dans les travaux de rénovation de toutes ses installations pour répondre à l’instruction de son Président, Alexis Thambwe Mwamba d’offrir aux sénateurs, aux membres du Bureau et ceux d’autres services un meilleur cadre de travail.  Les Sénateurs et autres administratifs du Sénat ont retrouvé depuis le 15 septembre 2019 la chambre haute avec un nouveau visage. Les installations du Sénat se sont métamorphosées et font belle impression à l’image du chic cabinet d’avocat, Thambwe Mwamba et associé à la Gombe, où le Président du Senat, patron du Cabinet, exerce son métier d’avocat. Ceux qui sont passés par le Ministère de la justice insistent sur la transformation de leur cadre de travail avec le passage d’Alexis Thambwe Mwamba dans ce Ministère. Contrairement à certaines allégations sans preuve et qui ne reflètent pas le cadre légal qui régit le fonctionnement de la chambre haute, le bureau provisoire du Senat n’a jamais eu droit à un quelconque indemnité de sortie. Les congolais qui connaissent et qui suivent de près le parcours de Me. Thambwe Mwamba, n’auront aucun mal à démasquer le subterfuge derrière les attaques contre ses actes de gestion.

Clément Dibwe

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